• Comment écouter vraiment ? " Voulons-nous vraiment écouter ?
    Nous écoutons la plupart du temps avec nos filtres, nos croyances.
    Comme nous l’avons dit, la plupart d’entre nous écoutons avec notre mental. Cela ne permet pas l’acceptation de ce qui est. Notre mental tend à prendre l’information et à la passer au travers de tous nos programmes d’enfance, ceux-ci créant nos filtres de perception de la réalité. Nos filtres, fausses croyances et illusions changent l’information pour en faire ce que nous pensons qu’elle devrait être, pas ce qu’elle est.
    Exemple : chaque dimanche soir avait lieu le Darshan. Après le Darshan, nombre d’entre nous nous retrouvions devant le hall et discutions de ce que nous avions entendu. C’était rare que deux personnes soient d’accord sur ce qui venait d’être dit à peine quelques instants auparavant. Cela me faisait me demander où nous trouvions-nous tous tandis que nous étions assis dans cette salle ?

    Ecouter demande du temps.
    Lorsque nous écoutons, la personne qui parle se sent habituellement entendue et confortable. Quand nous n’écoutons pas, cela crée anxiété et frustration pour la personne qui parle sans que celle-ci en soit nécessairement consciente.
    Quels sont les obstacles à l’écoute ? 
    Nos programmes d’enfance sont un obstacle majeur à la vraie écoute (nos parents nous ont-ils écoutés ? sinon, il y a des chances que nous n’écoutions pas les autres).
    En prenant conscience de nos programmes et en les transformant, nous développons petit à petit de l’espace en nous, ce qui libère de l’espace pour l’autre."

    Voici un magnifique article de Michel Siciliano à retrouver ici chez Communication.

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  • Mais tout d’abord, qu’appelle t-on hypnose ?"Sans entrer dans l’histoire du développement de cette discipline (de Puysegur, Messmer, Charcot, Freud, Erickson…) que le lecteur trouvera dans nombres livres traitant du sujet, nous ferons nôtre la définition de Milton Erickson qui l’a décrivait comme « une attention intense mais focalisée » ( cité in Balken, 2004, p. 270). Erickson décrivait cet état modifié de conscience comme une façon nouvelle de communiquer avec l’inconscient ou encore comme il l’écrit ailleurs : « l’hypnose est essentiellement une communication d’idées et de compréhensions, de telle façon que le patient soit le plus réceptif possible et par conséquent soit motivé à exploré ses propres potentialités corporelles afin de maitriser ses réponses psychologiques et physiologiques ainsi que son comportement » (in Balken 2004, p.270.). Il donne également une autre définition définition qui met en exergue la co-hypnotisation et la créativité du thérapeute : « l’hypnose est une relation vitale d’une personne stimulée par la chaleur d’une autre « personne ».

    Lorsque nous parlons d’inconscient, il ne s’agit pas tellement du concept admis par la psychanalyse freudienne mais de l’inconscient comme réservoir de ressources, règles, émotions, expériences passées qui s’impriment en nous. L’hypnose repose sur la dissociation conscient/inconscient. Le patient se trouve en situation « d’ ici et maintenant » (lieu, temps, dans le cabinet du thérapeute) et dans le même temps il va se laisser aller à un état de relaxation, de rêverie et accepter (s’il n’y a pas de résistances) les suggestions du thérapeute activant les ressources inconscientes.

     

    L’état hypnotique, n’a rien d’extraordinaire, n’est pas un état de sommeil mais laisse le patient concentré sur telle(s) ou telle(s) pensée(s), expériences, actes etc. Le thérapeute, contrairement à une idée erronée et persistante, n’est pas ce « sorcier » muni de pouvoirs étranges « mais un praticien se mettant en position basse et cherchant au moyen de techniques hypnotique à occuper, saturer la conscience du sujet pour mieux permettre la communication avec son inconscient » (Erickson, in Malarewicz et Godin 1986, p. 32)"

    Voici un court extrait d'un long article précis et documenté trouvé sur la site Mieux-Etre.org.

    Des exemples de métaphores et de thérapie familiale.

    Son auteur : 

    Marteaux Alain

    Psychothérapeute systémique. Formateur à l’Institut d’Etudes de la Famille (Bruxelles), à l’Ifisam (Bruxelles), à Tabiyeen (Liban).
    Membre de l’European Family Therapy Association, de l’Abipfts
    (Association belge des intervenants en psychothérapie systémique), du Groupement belge des formateurs en thérapies systémiques.
    - 40, av. du 11 novembre à Etterbeek (1040)
    - 12, av. Franklin Roosevelt à Ixelles (1050)
    - marteaux.alain@gmail.com
    - 0476/62.28.60

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  • LeCroire au potentiel caché de l’autre mentor, un tremplin pour réussir sa carrière

    "A la fois confident, conseiller, facilitateur et visionnaire, le mentor agit en véritable révélateur du rêve de son protégé. Un atout de taille pour développer son potentiel caché.

    Le sculpteur Michel-Ange disait que lorsqu’il regardait un morceau de marbre, il voyait très clairement la forme qui allait en sortir. Son travail ne consistait qu’à révéler cette forme aux autres. Le «phénomène Michel-Ange» est aujourd’hui observé par les chercheurs en psychologie et décrit l’action d’un individu qui influence, qui «sculpte» un autre individu. Au travail et dans la vie en général, un mentor est un précieux tremplin pour réussir. A cet égard, certains illustres personnages ne doivent leur destinée exceptionnelle qu’à l’intuition perspicace et prémonitoire d’un ami ou professeur bienveillants."

    J'ai beaucoup aimé cet article à retrouver* car j'ai eu à plusieurs reprises d'avoir l'intuition des capacités d'une personne que je suivais bien avant que ses talents soient révélés et chaque fois, cela été un bonheur d'assister à la naissance d'un talent exploité de manière positive.

    *http://www.letemps.ch/economie/2016/02/01/mentor-un-tremplin-reussir-carriere

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  • Les gens entrent dans notre vie pour une raison, une saison ou pour toute la vie.Les gens entrent dans notre vie pour une raison, une saison ou pour toute la vie. Si nous arrivons à déterminer pour chaque rencontre si nous l'avons faite pour une raison, une saison ou pour la vie, alors nous saurons comment réagir envers elle.

    Celui qui passe dans notre vie pour une RAISON :

    C'est généralement pour combler un besoin que nous exprimons (consciemment ou non) ; il est là pour nous aider à traverser des difficultés, pour nous fournir des pistes ou nous guider et soutenir, pour nous aider physiquement, émotionnellement ou spirituellement ; il peut nous apparaître comme une aubaine et s'en est une ! IL est là parce que nous en avons besoin.

    Un jour, sans que nous n'y ayons la moindre part de responsabilité, cette relation fera ou dira quelque chose qui brisera le lien. Peut-être mourra-t-elle ou partira-t-elle, peut-être agira-t-elle de telle manière que nous ne pourrons continuer de cheminer à ses côtés. Ce que nous devons réaliser alors, c'est que notre besoin a été comblé, notre désir satisfait, qu'il n'y a plus de raison de cheminer ensemble et qu'il devait être temps de se séparer.

    Celui qui entre dans notre vie pour une SAISON :

    Parce que notre tour est venu de partager, d'évoluer ou d'apprendre ; il nous apporte un sentiment de paix ou nous fait rire. IL se peut qu'il nous fasse découvrir quelque chose de nouveau ou nous fasse faire quelque chose dont nous nous sentions incapable. Celui-là nous apporte généralement une somme immense de joies. Mais ce n'est, peut-être, que pour une saison...

    Ceux qui sont là pour TOUTE LA VIE :

    Ceux-là nous forgent pour la vie, nous aident à construire nos bases émotionnelles. Notre tâche est d'accepter les leçons, d'aimer et de mettre ce que nous en avons reçu et appris dans les autres relations qui émaillent notre vie.

    On dit que l'amour est aveugle, l'amitié, elle, est clairvoyante.

    (Jack Canfield / né en 1944 / Auteur-conférencier américain devenu célèbre grâce à sa série de livres de développement personnel)

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  • En ce début d'année, le temps des décisions et résolutions pour une année plus riche et plus vivante, Jean-Jacques Crèvecoeur (dont j'ai suivi une formation très intéressante : l'Académie de la vie en Mouvement) a toujours été passionné par la "santé naturelle".

     

    Voici ce qu'il nous offre toujours gratuitement à partir d'aujourd'hui. Si vous le voulez vous pouvez vous inscrire pour bénéficier de son point de vue et de ses expériences.

     

    "Dorénavant, tous les premiers vendredis du mois, je vous offre un nouvel article original tiré de la rubrique « SE GUÉRIR », une des rubriques de mon blog « Créer une meilleure vie ».

     

     

    Ce mois-ci, je vous propose un article intitulé : « Devons-nous aider notre corps à s’auto-guérir ? ». Pour le découvrir, cliquez sur ce lien ou cliquez sur l’image ci-dessous :

     

     

     

     

    Cet article est le deuxième d’une série de neuf que j’ai inaugurée le mois dernier. Dans cette série, je vous partagerai chaque mois une des conditions que j’ai mises en oeuvre dans ma vie pour reprendre en main ma santé de manière totalement autonome et indépendante de toute intervention extérieure !

     

     Avec l’article de ce mois-ci (le deuxième donc), je nuance quelque peu mes propos précédents en vous précisant ce que j’entends par l’expression « indépendante de toute intervention extérieure ». Car pour maintenir mon corps physique en équilibre depuis 28 ans, j’ai quand même recours régulièrement à différentes approches qui touchent à ma psychologie, à ma vie intérieure, à mes émotions et à ma vie spirituelle…

     

    C’est ça, à mon avis, l’intérêt de ce deuxième article. C’est que, paradoxalement, pour se garantir une excellente santé physique, ma discipline de vie est fondée beaucoup plus sur l’intangible que sur le tangible. Autrement dit, je vous démontrerai que ce n’est pas en mangeant sainement et en faisant du sport qu’on se donne les meilleures garanties d’une santé permanente…

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  • NOUS CRÉONS LA PAIX OU LA GUERRE NOUS-MÊMES"S'il y a encore quelque part la guerre sur cette planète, ça veut dire que je n'ai pas encore trouvé la paix en moi-même et avec les gens autour de moi. Je peux décider de créer la paix autour de moi.

    S'il y a encore des batailles, quelque part dans le monde, cela reflète les batailles que je mène encore avec moi-même et avec les autres de mon entourage. Je peux décider de créer la paix.

    S'il y a encore quelque part sur la scène du monde des disputes entre les nations, c'est qu'il y en a encore entre moi et moi-même, entre moi et mon entourage. Cela signifie que je crée toujours des querelles avec ma famille, mes voisins ou mes collègues. Ici, j'ai tout le pouvoir de créer la paix.

    Si je crée la paix autour de moi, partout où je suis, où je vis, avec ceux qui vivent autour de moi, je rayonne la paix. Si chacun le fait, partout où il se trouve, où il vit, il y aura la paix partout dans le monde.

    Si tout le monde prend la responsabilité de faire la paix avec ses voisins, sa famille, ses collègues, immédiatement nous allons constater la paix dans le monde!

    Si tout le monde s'occupait de ses propres affaires, et cessait d'interférer avec l'autre, de vouloir contrôler autrui, de prétendre de savoir mieux, alors il y aurait une bien meilleure perspective à l'échelle mondiale.

    Parce que ce que je fais pour moi-même et mon environnement immédiat, a le même effet comme une pierre que l'on jette dans l'eau: un effet d'ondes qui va de plus en plus loin. Vous ne connaissez pas l'impact exact de vos actions, mais ça va très loin. La preuve? Regardez les guerres! Nous avons contribué à les créer par nos querelles à l'intérieur de nos relations, à l'intérieur de nos maisons, même si cela semble un "show loin de mon lit". Nous sommes les co-créateurs de la discorde et de la guerre sur la scène du monde, parce que nous créons la discorde et la guerre dans nos maisons et nos relations.

    Que pouvons-nous faire? Créer la paix là où nous sommes! Et dire, le long des lignes de Ho'oponopono:

    Pardonnez-moi car je suis en partie responsable des troubles et de la discorde qui règnent dans le monde.

    Merci, guerres et combats, meurtriers et terroristes, de m'ouvrir les yeux sur cela et de me montrer ce que j'ai co-créé.

    Je suis désolé de faire partie de cela par mon propre comportement.

    J'adore la paix et je m'engage à créer la paix partout où je suis."

    J'ai trouvé ce texte sur le blog d' Ineke Van Lint qui s'appelle d'un joli titre ENTHOUSIASME, peu de textes mais tous de cette qualité de réflexion.

      http://enthousiasme.info/fr/blog/

    N.B. vous trouverez par contre beaucoup à lire sur le site Enthousiasme http://enthousiasme.info/fr/information/articles/ Allez vous y promener.

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  • Cette pensée de Omraam Mikhaël Aïvanhov me servira de voeux pour finir l'année 2015 et commencer l'année 2016.

    Vous retrouverez cette pensée ici. Profitez-en pour vous abonner à la pensée du jour, une petite méditation qui arrive dans votre boite mail et vous aide à passer une bonne journée.

    jeudi 17 décembre 2015

    Pourquoi je suis une apprentie entêtée et décidée à le rester.« Même arrivé à la fin de votre existence vous pouvez encore être jeune, parce que vous aurez compris ce qu’est réellement la vie : une transformation incessante, une adaptation.
     
     
    Pour la Science spirituelle, il n’y a pas de jeunes, il n’y a pas de vieux, mais seulement des êtres qui ont pour tâche de travailler sur eux-mêmes afin d’entretenir et d’intensifier la vie en eux.
    Personne ne doit dire : « Les années ont passé, je suis vieux, je ne peux plus faire d’effort ».
     
    Celui qui croit justifier son inertie par son âge, diminue le nombre des jours qui lui restent encore à se réjouir, car il fabrique en lui l’image de la vieillesse et cette image agit très négativement sur son état psychique et sur son état physique aussi. Qu’il se concentre au contraire sur la jeunesse en s’efforçant d’apprendre toujours quelque chose de nouveau pour rester ouvert à la vie.
     
    Car c’est cela la jeunesse, la vraie jeunesse. Avec les années le corps physique, bien sûr, perd de sa vigueur, de sa résistance ; mais même au moment de la mort, un regard, un sourire peuvent encore avoir l’expression de la jeunesse. »

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

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  • Voici un article que vous lirez avec intérêt si vous vous posez des questions sur le sens de votre vie.

    Vous trouverez l'article complet sur un site agréable à consulter, PRAVAHA, original qui vous propose des méditations ou des activités diverses : voyages, couleurs...Le début de l'article pour vous allécher...

    COMMENT TROUVER SA MISSION DE VIE
    La mission de vie c’est quoi ?

    C’est LA raison pour laquelle vous êtes né, c’est le but pour lequel vous êtes ici sur la terre. Seul hic : quand notre âme s’incarne dans un corps humain on oublie la raison pour laquelle on est venue et on peut mettre très longtemps avant de la retrouver. Certains ne la retrouvent même jamais." 

     

    Vous vous ennuyez et vous faites souvent la réflexion que vous aimeriez bien que votre vie soit un peu plus intéressante. Vous faites des choses à contre-cœur ou sans conviction. La mission de vie est toujours en accord avec le cœur, impossible qu’elle déplaise à votre cœur et que vous faites quelque chose contre votre volonté. Quand on est dans sa mission de vie on ne se pose pas 10.000 questions, on sait et on ressent qu’on est sur le bon chemin.

     

    Ou encore vous vous sentez coupable, responsable ou redevable envers quelqu’un. Vous n’êtes pas à 100% heureux avec votre vie, mais au moins vous savez que vous faites quelque chose de bien. Vous contribuez quelque chose à la société et la bonne cause vaut bien quelques sacrifices, n’est-ce pas ?
    FAUT ! Vous êtes en train de rationaliser votre vie et vous vous empêchez ainsi de trouver votre mission de vie. La mission de vie ne se trouve pas avec le mental, mais avec le ressenti et on n'a pas l'impression de faire des sacrifices, toute action coule de source.

     

    La mission de vie ne se trouve pas en déterminant sa vie en fonction de quelqu’un d’autre. Ce n’est pas juste envers vous-même de vivre en fonction d'une autre personne parce que vous pensez que vous êtes obligé de le faire. Et ce n’est pas honnête envers l’autre personne non plus qui porte ainsi toute la responsabilité de votre bonheur sur ses épaules.
    Vous n’avez pas besoin de mettre votre vie dans les mains de quelqu’un d’autre ni de charger une autre personne avec le poids de votre existence.

    L'article sur la mission de vie est suivi d'un autre article aussi intéressant "Est-ce que c’est possible d’avoir plusieurs missions de vie?"

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  • Laisser exprimer les colères, faut-il mettre des limites?Effectivement il y a des limites à poser.  Il est important de faire la distinction entre:

    1. Poser des limites aux émotions, et 
    2. Poser des limites aux expressions de ces émotions.

    S’il n’est pas favorable à l’enfant de le limiter dans ses émotions, en lui laissant le message que avoir des colères, des chagrins, des frustrations est négatif, il est très constructif pour lui d’apprendre que, l’expression de ses émotions, c’est-à-dire que

    « les comportements que j’agis pour démontrer mes émotions ont des limites imposées par la présence des autres, ma propre sécurité et celle des autres, mon intégrité physique et celle des autres, le respect des lieux dans lesquels je me trouve, la culture dans laquelle je vis, ainsi que le bien-être des autres. »

    Cela paraît être un programme très chargé, mais cela signifie aussi que lorsque j’apprends à exprimer mes émotions, j’apprends aussi à me situer dans mon environnement et à faire preuve de respect de celui-ci.

    Ainsi il est très important en tant que parents, que nous apprenions à nos enfants que être en colère, 

    1. c’est normal et sain à la fois, 
    2. qu’il vaut toujours mieux le dire et l’exprimer que le garder pour soi au fond de soi ET que dans le même temps, 
    3. il existe toute une panoplie de façon de l’exprimer sans porter préjudice aux autres; 

    Cela nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes aussi responsables de ne pas faire vivre aux autres une colère ou des frustrations qui ne leur appartiennent pas et en particuliers à nos enfants que nous brusquons souvent à cause de choses qui ne leur appartiennent pas.

    Connaître une large panoplie de façons d’exprimer ses sentiments et ses émotions est un gage de bonne gestion émotionnelle.

    - La suite de cet excellent article sur le blog de Family coach

    Parents de petits-enfants ou d'ados, grand-parents, professeurs...Il y a de très chouettes infos sur ce site.

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  • Soyons spirituellement incorrects ! "Le bon profil spirituel

    La spiritualité est une notion aussi vaste que fourre-tout, où tout et son contraire s’offrent à qui le souhaite. Si certaines personnes voient dans quelle direction aller, beaucoup sont perdus et se raccrochent volontiers à des balises édictées par d’autres, qui deviennent parfois des normes, voire des injonctions.

    En règle générale, on attend d’une personne sur un chemin spirituel qu’elle ne se mette pas en colère, ne ressente pas « d’émotions négatives » comme la jalousie ou la haine, ne fume pas ni ne boive d’alcool, consomme bio et durable, ne mange pas de viande, soit conscientisée face au réchauffement climatique et aux enjeux écologiques, ne diffuse que des « énergies hautes » comme l’amour, ait une sexualité sublimée, prône un retour à la simplicité volontaire, ait pris des distances avec le modèle consumériste et néolibéral, soit en permanence dans la compassion et l’entraide…"

    Ces phrases lues sur le site Présence à soi et la suite de l'article sont la source d'une réflexion salutaire. Il peut y avoir beaucoup de pressions quand on cherche à suivre un chemin de spiritualité.

    "En règle générale, on attend d’une personne sur un chemin spirituel qu’elle ne se mette pas en colère, ne ressente pas « d’émotions négatives » comme la jalousie ou la haine, ne fume pas ni ne boive d’alcool, consomme bio et durable, ne mange pas de viande, soit conscientisée face au réchauffement climatique et aux enjeux écologiques, ne diffuse que des « énergies hautes » comme l’amour, ait une sexualité sublimée, prône un retour à la simplicité volontaire, ait pris des distances avec le modèle consumériste et néolibéral, soit en permanence dans la compassion et l’entraide…"

    Plus sur le blog : Présence à soi.

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