• Right or wrong? 

    Schopenhauer (Lisez ces textes excellents sur ce site de philo)

    L'Art d'avoir toujours raison [1]

    [et de se faire détester de tous]

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  • La parole impeccable (accord Toltèque N°1)"La parole impeccable est le premier accord toltèque, plutôt facile à comprendre au premier abord mais il s’avère relativement difficile à appliquer au quotidien.

    Nous sommes habitués depuis toujours et depuis des générations voir depuis le commencement à parler d’ autrui, à médire, à commenter les faits et gestes de nos voisins, familles, amis, compagnons, frères et sœurs ou encore père et mère….
    Nous passons notre vie à parler des autres que ce soit en bien ou en mal. Lorsque nous ne parlons pas des autres, nous parlons de nous, nous parlons à nous-même et bien souvent plus en mal qu’en bien « je suis nul(e) « , « Je foire tout ce que je fais », « Je n’aurais jamais dû faire ça… »"Je n’y arriverai jamais.. » « je suis moche…je suis gros(se)… »
    En d’autres termes, nous passons énormément de temps à nous juger ou à juger les autres. La parole est une arme destructrice ou bienfaitrice, les mots peuvent peser très lourd et avoir des effets dévastateurs."

    Retrouvez la suite de cet excellent article sur Phylosovie : Blog

    Quand vous serez sur ce blog, visitez la Boite à outils : elle contient des articles bien écrits, entre autres, sur les états du moi de l'Analyse Transactionnelle, des vidéos de développement prsonnel et autres trésors.

    De quoi faire vos devoirs de vacances.


    C’est l’histoire d’un livre devenu culte
    . Quatre règles de vie à appliquer pour une promesse « de liberté, de bonheur et d’amour ». Philosophie à bon marché ou méthode efficace pour mieux se connaître et s’aimer ? article détaillé de Psychologies.com 
    Sommaire

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  • "Je voudrais partager mes messages de l'au-delà"Patricia Darré a écrit ce livre "Un souffle vers l'éternité" pour partager son expérience ou plutôt ses expériences de l'au-delà.


    Si vous êtes un peu perdus entre les esprits errants, les morts qui ne se savent pas morts, les esprits mauvais et les fantômes, les anges et les archanges,

    vous trouverez dans ce livre des descriptions très claires et le mode d'emploi des communications avec l'au-delà.

     Et si vous voulez l'écouter, voici un interview d'elle :

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  • Ecoutez Jean Ziegler commenter son dernier livre: "Destruction massive, géopolitique de la faim"

    Et quel est le sens de mourir de faim ?Lire pour comprendre la famine et la pauvreté dans le monde...

    Vous pouvez aussi écouter cette vidéo où Jean Ziegler est interviewé sur ce sujet à cette adresse

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  • Sur les traces du sacré éditorial publié le 01/01/2012 : Monde des religions

    Croire ou ne pas croire ?Notre dossier met en évidence un fait important : l’expérience spirituelle sous ses formes très diverses – prière, transe chamanique, méditation – a une inscription corporelle dans le cerveau. Au-delà du débat philosophique qui en découle et des interprétations matérialistes ou spiritualistes que l’on peut en faire, je retiens un autre enseignement de ce fait. C’est que la spiritualité est d’abord, et avant tout, une expérience vécue qui touche l’esprit autant que le corps. Selon le conditionnement culturel de chacun, elle renverra à des objets ou à des repré­sentations très différentes : rencontre avec Dieu, avec une force ou un absolu indicible, avec la profondeur mystérieuse de l’esprit. Mais ces représentations auront toujours pour point commun de susciter un ébranlement de l’être, un élargissement de la conscience et bien souvent du cœur. Le sacré, quel que soit le nom ou la forme qu’on lui donne, transforme celui qui l’éprouve. Et il le bouleverse dans tout son être : corps émotionnel, psyché, esprit. De nombreux croyants ne font pourtant pas cette expérience. Pour eux, la religion est avant tout un marqueur identitaire personnel et collectif, une morale, un ­ensemble de croyances et de règles à observer. Bref, la religion est réduite à sa dimension sociale et culturelle.

    On peut pointer dans l’histoire le moment où cette dimension sociale de la religion est apparue et l’a peu à peu emporté sur l’expérience personnelle : le passage de la vie nomade, où l’homme vivait en communion avec la nature, à la vie sédentaire, où il a créé des cités et a remplacé les esprits de la nature –  avec lesquels il entrait en contact grâce à des états modifiés de conscience – par les dieux de la cité à qui il a offert des sacrifices. L’étymologie même du mot sacrifice – « faire le sacré » – montre bien que le sacré ne s’éprouve plus : il se fait à travers un geste rituel (offrande aux dieux) censé garantir l’ordre du monde et protéger la cité. Et ce geste est délégué par le peuple, devenu nombreux, à un clergé spécialisé. La religion revêt dès lors une dimension essentiellement sociale et politique : elle crée du lien et soude une communauté autour de grandes croyances, de règles éthiques et de rituels partagés.

    C’est en réaction à cette dimension trop extérieure et collective que vont apparaître dans toutes les civilisations, vers le milieu du premier millénaire avant notre ère, des sages  très divers qui entendent réhabiliter l’expérience personnelle du sacré : Lao Tseu en Chine, les auteurs des Upanishads et le Bouddha en Inde, Zoroastre en Perse, les initiateurs des cultes à mystères et Pythagore en Grèce, les prophètes d’Israël jusqu’à Jésus. Ces courants spirituels naissent bien souvent au sein des traditions religieuses qu’ils tendent à transformer en les contestant de l’intérieur. Cette extraordinaire poussée de mysticisme, qui ne cesse d’étonner les historiens par sa convergence et sa synchronicité dans les différentes cultures du monde, va bouleverser les religions en y introduisant une dimension personnelle qui renoue par bien des aspects avec l’expérience du sacré sauvage des sociétés primitives. Et je suis frappé de voir combien notre époque ressemble à cette période antique : c’est cette même dimension qui intéresse de plus en plus nos contemporains, dont beaucoup ont pris leurs distances avec la religion qu’ils jugent trop froide, sociale, extérieure. C’est tout le paradoxe d’une ultramodernité qui tente de renouer avec les formes les plus archaïques du sacré : un sacré qui s’éprouve plus qu’il ne se « fait ». Le XXIe siècle est donc à la fois religieux par la résurgence identitaire face aux peurs engendrées par une mondialisation trop rapide, mais aussi spirituel par ce besoin d’expérience et de transformation de l’être que ressentent de nombreux individus, qu’ils soient religieux ou non.

     

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  • L'épiphanie est un terme qui vient du grec et qui signifie une révélation, une apparition, une manifestation, une illumination soudaine qui fait comprendre la nature profonde des choses

    D'où mes voeux et en attendant votre prochaine épiphanie, vous pouvez allez vous documenter en lisant un magnifique article sur l'Epiphanie des Chrétiens sur ce site "LIEUX SACRES"

    Madame Dulac, l'auteure de ce site, vous emmènera en promenade dans tous les hauts-lieux énergétiques de France,  des petits menhirs aux cathédrales, sans oublier fontaines, arbres magiques, églises, temples...

    Ce site est une somme de connaissances et d'érudition. Bonne lecture...

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  • Questions et réponses chez Nicole Monterini : La Conscience-Espace

    Q : La quête du sens s'est révélée très tôt chez moi. J'ai toujours voulu comprendre, je me suis toujours posé des questions. Même si je sais qu'un processus est en cours, je l'ai bien compris, mais parfois, j'ai l'impression de "stagner". Y a t il quelque chose que je puisse "faire" pour accélérer ce processus comme me le suggère mon entourage (pratiques spirituelles diverses) ? Ma question n'est elle pas celle de mon impatience!?

    R : Ecoutez votre propre voix, demeurez relié à cette joie sans cause que vous ressentiez adolescent lorsque vous contempliez l'univers. 
    La société nous entraîne à « faire » sans cesse, à être toujours dans l'agir. Nous sommes tellement conditionnés que nous culpabilisons si nous sommes dans la contemplation, croyant alors que nous stagnons, dans une passivité synonyme de faiblesse.

    Or, il n'y a jamais stagnation. Comment serait-ce possible ? La vie n'est que mouvement. C'est toujours notre esprit qui juge et qui sépare, d'un côté ce qui est considéré comme bien, de l'autre comme mauvais, d'un côté l'action, de l'autre la contemplation… Toute la vie est regardée par notre esprit de cette façon duelle.
    La question n'est pas de faire, même des méditations, des prières, des rituels, ce n'est pas non plus de rejeter quoi que ce soit. C'est de laisser la vie oeuvrer en soi. La vie n'a pas besoin de nous, n'a pas besoin qu'on l'aide à se mouvoir ... c'est l'ego, ce tas de pensées, qui, dans son orgueil, s'en persuade.
    Vous pouvez méditer - sans pour autant vous immobiliser physiquement - si vous ressentez le besoin de calmer votre esprit. Un mental calme, stable, est indispensable pour permettre à l'énergie de la vie d'oeuvrer en nous, librement, dans cet espace laissé grand ouvert, sans entrave, qui est notre véritable nature.

    La quête du sens - Une question, une réponseL'intelligence de cette énergie sait ce qui est bon pour nous, et tout ce qu'elle nous propose - tout, même ce que nous considérons comme des épreuves - est une invitation à nous ouvrir, à élargir notre espace intérieur.
    Le temps n'existe pas dans cette dimension-là. L'impatience est une création de notre mental, qui imagine une distance pour arriver à un but. Ne projetez rien, ne cherchez pas un but, vous êtes déjà ce que vous cherchez : un espace de paix et de silence, depuis toujours. C'est lorsque votre esprit aura définitivement compris qu'il ne peut trouver ce qui est plus vaste que lui, ce qui le contient, que le "saut" se fera... de lui-même.
    Ayez confiance en la vie. Elle vous a mené avec amour jusqu'ici, et il n'y a pas d'autre réalité que celle que vous vivez, ici et maintenant.


    Déraciner la souffrance (Editions Accarias L'Originel)

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  • Gregg BradenGéologue informaticien pour Phillips Petroleum pendant la crise énergétique des années 70, il a été concepteur principal de systèmes informatiques auprès de Martin Marietta Defense Systems, au cours des dernières années de la guerre froide.

    En 1991, il est devenu premier directeur technique pour Cisco Systems, où il a vu au développement de l’équipe de soutien mondial qui assure la fiabilité du réseau Internet actuel.

    Depuis plus de vingt-cinq ans, Gregg parcourt des villages de haute montagne, des monastères isolés et se penche sur des textes oubliés pour en dévoiler les secrets éternels. Son travail est présenté aux chaînes History Channel, Discovery Channel, Sci Fi Channel et NBC.

    Les découvertes de Braden ont donné lieu à la publication de livres qui participent à l’évolution d’anciens paradigmes.

    L’Effet Isaïe, La Divine Matrice, La guérison spontanée, Le Temps fractal,

    (classé en cinquième position au palmarès du New York Times deux semaines seulement après sa parution-voir la maison d'éditions Ariane)

    http://www.ariane.qc.ca/fr/

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  •  

    Psychostasie, c.-à-d. en grec pesée des âmes. La croyance qu'après la mort les actions humaines sont jugées avec une sévère équité a fait comparer cet examen à une pesée, dans lequel la Divinité met en balance le poids de nos vertus et celui de nos fautes. Cette image de la rémunération future passant du langage dans les idées, on prit à la lettre la pesée des âmes. On en trouve, dès la plus haute antiquité, des preuves écrites ou figurées : sur plusieurs monuments de l'Égypte Anubis, Horus, ou Thméi (déesse de la justice), pèsent les âmes dans une balance; dans la religion des Hindous, Dherma pèse aussi les bonnes et les mauvaises actions. 
    Voir La pesée de l'âmeLa même idée métaphorique existe dans l'explication que Daniel donna des trois mots écrits par une main mystérieuse sur les murs du palais de Balthazar : "Vous avez été pesé dans la balance, et on vous a trouvé trop léger." II existe dans Homère(Iliade, XX, 210) et dans Virgile (Enéide, XII, "725) des allusions à la psychostasie. Les premiers chrétiens adoptèrent la balance comme un symbole du Jugement dernier. (B.).

    Texte complet ici

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  • Frédéric Lenoir est philosophe, écrivain, conférencier, homme de radio :

    Tous les mardis soirs, de 21h à 22h, Frédéric Lenoir présente son émission "Les Racines du Ciel" sur France Culture.

    J'ai testéJ'ai trouvé  ce livre "Petit traité de vie intérieure" à la bliblothèque du village où je suis en vacances. 

    Cette description sur la quatrième de couverture colle bien au contenu du livre.

    « De tous mes livres de philosophie et de spiritualité, celui-ci est certainement le plus accessible, mais sans doute aussi le plus utile. Car ce n’est pas un savoir théorique que je cherche à transmettre, mais une connaissance pratique, la plus essentielle qui soit : comment mener une vie bonne, heureuse, en harmonie avec soi-même et avec les autres. Ce que je dis ici avec des mots simples et des exemples concrets, comme au cours d’une conversation avec un ami, est le fruit de trente années de recherches et d’expériences...."

    Un exemple d'une page contenant une visualisation bien utile...

    J'ai testé

     

     

     

     

     


     

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