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Par Bolinas le 5 Décembre 2016 à 07:48
"Qu’est-ce que les ordures mentales? Elles sont ce que vous pensez de vous (de façon consciente et inconsciente) et représentent l’écho de votre petite voix intérieure. Elles sont souvent associées à vos peurs, craintes, appréhensions, croyances et à ce que l’on vous a répété au fil des ans et que vous avez acheté comme convictions face à qui vous êtes! Il s’agit d’un reflet déformé de votre personne et d’une mauvaise perception de qui vous êtes réellement! Il est temps de faire le ménage et de remettre la pendule à l’heure, soit à votre heure!"
Voici le début d'un excellent article à retrouver ici : http://le-rime.com/articles/les-ordures-mentales/
Voici quelques exemples d’ordures mentales:
- Je ne serai jamais capable.
- J’ai peur de prendre le risque.
- Je n’y arriverai jamais.
- Je suis anxieux.
- Je ne suis pas à la hauteur.
- Je ne suis pas assez beau.
- Je ne suis pas assez bon.
- Je ne le mérite pas.
- Je n’en vaux pas la peine.
- Etc.
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Par Bolinas le 25 Novembre 2016 à 15:22
Chaque année, 216 000 femmes âgées de 18 à 75 ans sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime (mari, concubin, pacsé, petit-ami…). Il s’agit d’une estimation minimale. L’enquête n’interrogeant que les personnes vivant en ménages ordinaires, elle ne permet pas d’enregistrer les violences subies par les personnes vivant en collectivités (foyers, centres d’hébergement, prisons…) ou sans domicile fixe. Ce chiffre ne couvre pas l’ensemble des violences au sein du couple puisqu’il ne rend pas compte des violences verbales, psychologiques, économiques ou administratives.
Plus d'infos et de documents sur cette page http://stop-violences-femmes.gouv.fr/Les-chiffres-de-reference-sur-les.html
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Par Bolinas le 10 Août 2016 à 12:02Article Diane Gagnon - Auteur, coach, conférencièreChaque fois que nous tentons de contrôler les autres, les évènements ou quoi que ce soit, nous ouvrons la porte à la souffrance. Chaque fois que nous sommes en colère parce que quelque chose ne fonctionne pas comme nous voudrions, parce que la réalité ne correspond pas à ce que nous souhaitons, parce que l’autre ne fait pas ce qu’on voudrait qu’il fasse, nous sommes en train de tenter de contrôler ce que nous ne pouvons PAS contrôler… et nous souffrons.Si nous nous moulons aux désirs de l’autre pour ne pas lui déplaire, si nous faisons attention pour éviter sa colère, si nous faisons tout pour qu’il nous aime, alors nous sommes en train d’essayer de contrôler ses sentiments, ce qui ne fonctionne JAMAIS. Nous sommes dans une impasse où nous risquons de nous perdre… et nous souffrons. Pour notre ego qui tourne en boucle dans notre tête, tout est souffrance car l’ego veut tout contrôler : il compare sans arrêt, juge, condamne ; il s’irrite, s’énerve et se met en colère chaque fois que les choses ne fonctionnent pas comme il veut, chaque fois qu’il a l’impression de perdre le contrôle. Le plus ironique dans tout ça c’est qu’il n’a jamais le contrôle, même quand il croit le détenir.Nous ne contrôlons rien dans notre vie. Bien sûr, nous croyons pouvoir contrôler certaines choses en planifiant, en prêtant attention, en faisant de son mieux. Mais ce n’est qu’un mirage car la Vie peut tout renverser à tout moment. Nous avons l’illusion de contrôler quand ce qu’on vit ressemble à ce qu’on voudrait, mais c’est seulement parce que nous suivons le courant de la Vie à ce moment-là. Refuser ce qui est, c’est souffrir. Vouloir contrôler, c’est souffrir. Dans le contrôle, il y a le mot contre : vouloir contrôler, c’est aller CONTRE la réalité. C’est se battre inutilement dans un combat perdu d’avance : la réalité aura toujours raison, car la réalité c’est la Vie.Pour déjà moins souffrir, lâchons prise, car nous ne tenons prise sur rien finalement ! Accueillir la réalité telle qu’elle est, même si elle nous déplait, même si elle n’est pas comme nous souhaiterions qu’elle soit, mais accueillir quand même CE QUI EST nous évite des tonnes de souffrance inutile. Changeons ce que nous pouvons au besoin mais ne perdons pas notre énergie à tenter de vouloir contrôler ce que nous ne pouvons pas contrôler.
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Par Bolinas le 21 Juillet 2016 à 15:37
Autrefois les livres valaient une véritable petite fortune. Valeur héritée de leur rareté. Avoir des livres était être un érudit, un privilège réservé à certaines catégories sociales. Aujourd'hui encore, certains tentent de montrer leur culture par des bibliothèques remplies du sol au plafond et qui concentrent surtout beaucoup de poussière.
Or les livres n'ont de valeur que si vous les utilisez, entendez par là que vous les regardez régulièrement s'il s'agit de beaux livres ou de livres de photos, qu'ils vous servent de base de travail ou que vous les lisez.
Sincèrement, dans votre bibliothèque, combien de livres achetés sur un coup de cœur et que vous vous êtes promis de lire - un jour - et qui attendent depuis des lustres?Combien de livres que vous avez commencés et dont l'histoire ne vous passionne pas. Mais qu'il faut avoir lus pour briller en société? "Le dernier Houellebecq? Oui je l'ai commencé la semaine dernière..."
Les livres (à de très rare exception) n'ont aucune valeur. Vous le réalisez quand vous tentez de les revendre et qu'on vous les rachète au dixième du prix que vous avez payé. Vous ne pouvez donc pas thésauriser avec des livres. D'ailleurs, il est moins onéreux pour un éditeur de détruire les stocks (les mettre au pilon) et les réimprimer s'il y a une demande que de les stocker.
Trouvez la suite de l'article très intéressant de Bénédicte Régimont ici
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Par Bolinas le 6 Juin 2016 à 10:42
"Je crois", dit Emilio Carillo, "que dans notre société, nous nous sommes bien éloignés de ce qu'est la spiritualité et tout ce que cela implique. La spiritualité ce n'est pas renoncer à ce qu'offre la vie. Cela ne signifie pas refuser la sexualité, vivre dans le sacrifice, réaliser de grands efforts, vivre dans la tristesse ou être sérieux. Tout cela n'a rien à voir avec la spiritualité. C'est un concept purement inventé par l'ego. Le mental, l'ego essayent d'utiliser le concept de la spiritualité comme un tremplin pour se donner de l'importance."
Les savants de la Grèce antique avaient très bien défini la spiritualité quand ils disaient: « Connais toi toi-même » ?
Par ces quelques mots tout est dit car en effet que pourrait-on ajouter de plus ?"La spiritualité consiste simplement à prendre conscience que nous sommes des êtres spirituels venus s’incarner en un corps physique nous permettant de vivre des expériences humaines. Notre erreur est de croire, tout au long de cette vie terrestre, que nous sommes ce corps physique, mental et émotionnel. Nous nous identifions à ce corps physique qui est notre "voiture" alors que nous sommes en réalité bien plus que cela. De là viennent toutes nos souffrances.
Emilio Carillo ajoute que "Nous pouvons assez facilement avoir des pensées du type: "D'accord, je conçois que je suis un être de dimension spirituelle qui s'est incarné dans un corps.". Pourtant, pour que cette pensée soit en lien fort avec la véritable spiritualité, il est nécessaire que cette connaissance de soi-même ne reste pas au niveau du mental, de l'intellect, mais qui s'expérimente par une pratique quotidienne. Cette connaissance de soi-même doit se vivre pleinement pour devenir réalité. Et cela devient réalité quand, face à chaque évènements du quotidien, entre les mille et une chose de la vie de tous les jours, nous vienne immédiatement à l'esprit cette évidence : "Je ne suis pas la voiture mais le conducteur, cet être infini et éternel."Sur le même thème un autre auteur Éric Camerlynck a écrit : L’Éthique des petits actes, c’est « petits actes » qui est écrit en gros caractères et en lettres capitales, et c’est cette expression inhabituelle qui a d’abord retenu mon attention. On considère souvent que l’éthique véritable – celle qui n’est pas un argument publicitaire mais émane d’une authentique démarche individuelle – est le fait de héros contemporains, de héros moraux marchant à rebours du courant général. Or, comme beaucoup d’autres personnes sans doute, je n’ai pas l’étoffe d’une héroïne et je ne me sens pas capable de « grands » actes. D’un autre côté, il serait scandaleux que la pratique de l’éthique soit réservée à une élite : si ce n’est pas là un mot vide, il faut bien que j’y aie accès d’une manière ou d’une autre. L’éthique doit me concerner dès maintenant, au même titre qu’elle concerne chaque individu dans sa globalité, et pas seulement dans son action en tant que citoyen d’un pays ou du monde, ou dans le cadre d’un engagement militant au service d’une « grande » cause. Le champ d’application de l’éthique doit concerner aussi – peut-être d’abord – la vie de tous les jours ; l’éthique doit prendre sens à travers les actes – même les plus ténus – qui tissent notre quotidien. C’est le point de vue développé par L’Éthique des petits actes. - See more at: http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/lethique-pour-tous-2/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+e-ostadelahi-fr+%28e-ostadelahi.fr+-+Nouveaut%C3%A9s%29#sthash.6kLE8eSK.dpuf
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Par Bolinas le 19 Mai 2016 à 09:10
"L’échelle des comportements vous sera particulièrement utile si vous managez une équipe ou coordonnez différentes personnes dans le cadre d’un projet.
A quoi sert cet outil et comment fonctionne-t-il ? L’idée est extrêmement simple. Face à une situation donnée (cela peut être un problème ou un changement) chaque individu peut se comporter de différentes manières (positives ou négatives).
Pour aller du négatif vers le positif, il faut passer certaines étapes « obligatoires » et l’échelle des comportements permet d’identifier ces étapes et de montrer le chemin à parcourir pour aller vers un changement positif."
Cette démarche peut s'appliquer dans notre vie quotidienne, familiale, relations avec des voisins...Suite de l'article http://www.simpleslide.com/2015/01/19/echelle-comportements/
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Par Bolinas le 12 Avril 2016 à 09:34
Cet article m'a beaucoup intéressée, j'espère qu'il en sera de même pour vous. Un court extrait pour vous donner envie de lire tout l'article.
"Oui, la Vie vous a bien mis cette personne sur votre chemin pour une bonne raison ! Pour que vous puissiez apprendre à vous connaître à travers la relation que vous entretenez avec cette personne !
Mais de votre point vue, vous vous obstinez à croire que cette personne est dans votre vie pour que vous appreniez à la garder coûte que coûte, afin de poursuivre la relation. Car selon votre perception, une relation réussie est une relation qui dure et si possible, à vie !"Article dont vous trouverez la suite sur ce site http://www.magneticobonheur.com/magneacutetico-blog/recuperer-votre-ex-est-ce-vraiment-benefique-pour-vous
Allez aussi écouter ses vidéos sur Youtube.
Cristina Marques est Thérapeute spécialisée en dépendance affective et relations de couple, Auteure, Consultante en développement personnel, conférencière et Enseignante "Louise Hay"
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Par Bolinas le 7 Avril 2016 à 15:42
Les étapes du deuil selon Elizabeth Kübler-Ross
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