• Dire Non vous semble difficile? Dire Non vous semble difficile?

    Ne quittez pas ce site (thérapie brève) avant d'avoir vu ce kit et epinglé son adresse!

    Sa logique est aussi rigoureuse que parfaitement limpide. Elle devrait s'enseigner à l'école. Et elle sauverait alors du surmenage une foule de gens bien intentionnés.

    Venues tout droit de l'A.T. ces explications (très claires) vous sauveront la mise si vous faites partie de la famille des sauveurs ou sauveteurs.

    Suivez le guide...Résultats garantis avec de l'entraînement, bien sûr.

    Ne manquez de visiter ce site, plein de goodies : vidéos, superbe bibliographie, des tests...

    Par ex.  Le Petit ABC systémique et beaucoup, car pas tout, mais presque sur les thérapies brèves. Un beau travail.

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  • Même pas peur de mon ombre?J'ai profité de mes longues journées tranquilles de retraite à l'île de Lérins pour lire et j'ai trouvé ce livre à la boutique de l'abbaye.

     'Apprivoiser son ombre : Le côté mal aimé de soi' chez bayard-développement personnel.

    L'un de vous m'avait parlé de son auteur : Jean Monbourquette et éveillé ma curiosité.J'ai été impresionnée par ma lecture et bien que le sujet soit austère, j'ai lu le livre en quelques jours en prenant le temps de faire les exercices.

    Même pas peur de mon ombre?

    Je fais amende honorable auprès de la personne qui m'avait recommandé cette lecture car j'ai fait preuve de sectarisme en m'empêchant pendant longtemps  de lire cet auteur sous prétexte qu'il était prêtre.

     

     

     C'est un livre important car on ne trouve pas facilement ce sujet traité avec simplicité et efficacité. La matière est répartie en plusieurs chapitres et il suffit de se laisser guider. Les exercices sont nombreux et bien conçus, permettant d'obtenir des résultats signifiants - on peut débroussailler le terrain avant d'aller voir un psy.

    Vous trouverez un excellent résumé de ce livre sur le site Relation d'aide.com. cela vous donnera peut-être envie d'acheter le livre (12 €)

    Ce site contient d'autres résumés de livres dans l'onglet Dossiers

     

     

    Autres titres de Monbourquette : Aimer, perdre et grandir, 1994, Novalis/Bayard, Comment pardonner?, 1992, Novalis/Bayard, Groupe d'entraide pour personnes en deuil, 1993, L'ABC de la communication familiale, 1993, Novalis.Groupe d'entraide pour personnes séparées/divorcéesÀ chacun sa mission, 1999, Novalis/Bayard, Montréal/Paris.De l'estime de soi à l'estime du Soi, 2001, Novalis/ Bayard, Montréal/Paris, Prix 2003 de L'Association Société et Communication de Montréal).Pour des enfants autonomes, 2004, Novalis/Bayard, Montréal/Paris.La violence des hommes, 2006, Montréal/Paris, Novalis/Bayard.La mort, ça s’attrape !, 2008, Novalis/Bayard, Montréal.Le guérisseur blessé, 2009, Novalis/Bayard, Montréal

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  • Pourquoi ai-je tant de mal à m’y mettre ?

     Le désordre représente toutes les décisions qu’on n'a pas prises, qui restent à prendre, et la sensation que cela demande une énergie considérable. Eliminer, c’est apprendre à faire des choix et cela peut être douloureux. En outre, conserver un maximum d’objets donne parfois un sentiment de sécurité.

     

    Pourquoi ai-je intérêt à le faire ? 

    Le désordre est l’équivalent visuel d’un bruit de fond. Il fatigue, au sens propre (fouiller pour retrouver ce que l’on cherche) comme au figuré (stress, découragement) et il nous coûte : perte d’argent (racheter ce qu’on ne retrouve plus) et de temps. Trier, c’est maîtriser l’espace et le temps, c’est mettre de l’ordre dans sa tête et dans sa vie. Faire de la place autour de soi, c’est faire de la place en soi : se débarrasser de l’inutile permet de s’ouvrir au changement

     

    Pourquoi et comment ranger ?1/ Je segmente l’espace. On divise la maison en zones (salon, cuisine,…)et chaque semaine, pendant un mois, on intervient dans l’une de ces zones. Chaque jour, on se fixe une mission : le bureau encombré, l’étagère inatteignable. On prend une photo avant pour admirer le résultat après.

     2/ Je me fixe une durée. 15 minutes par jour, pas plus (sinon, gare à la démotivation et au découragement). On ne sort que ce qu’on est capable de ranger en un quart d’heure.

    3/ Je m’équipe. Un sac poubelle (pour les objets à jeter), et deux corbeilles (à donner/à vendre). On commence à trier à l’entrée de la pièce et on tourne dans le sens des aiguilles d’un montre sans sauter un endroit.

    4/ Je suis sans pitié. Si on n’a pas utilisé cet objet depuis plus d’un an, on élimine. On oublie les « ça peut toujours servir ».

    5/ Je me fais aider si besoin de façon à être plus objective, notamment pour les objets à valeur sentimentale (le collier de coquillages, les dessins de maternelle de la copine…). Et on n’oublie pas que les souvenirs, c’est aussi dans la tête !

    6/ Je ne laisse pas traîner. Quand le sac « à jeter » est plein, interdiction de le rouvrir. On le dépose tout de suite dans la benne à ordures. Même destin pour le contenant « à donner » : direction la voiture pour l’apporter à une association. Quand à celui « à vendre » il n’a d’utilité que si l’on sait comment procéder (un vide-grenier prévu), sinon on donne.

    7/Je fais place nette. En passant l’aspirateur, en donnant un coup d’éponge, en aérant la pièce, après avoir libéré de l’espace. Et on se félicite en regardant l’éventuelle photo avant/après.

    8/ Je fais durer. En évitant de remplir encore : si un nouvel objet entre, un ancien doit sortir. Ou on élimine d’abord et on achète ensuite. Et on se méfie des « pièges accumulateurs » (promos, échantillons gratuits…)

    9/ Je suis régulière. Si ce grand exercice de rangement est à faire une fois par an, le quotidien doit intégrer de nouveaux réflexes : ranger chaque objet déplacé, décider d’une organisation pour les choses usuelles (le linge propre dans l’armoire de la chambre, les clés dans le tiroir…) et s’y tenir.

    10/ J’évite de m’éparpiller. On ne se met pas à lire les articles de journaux découpés il y a deux ans ou à recoudre un bouton d’une vielle veste.

    Pourquoi et comment ranger ?

    Merci à B. lectrice fidèle qui m'a envoyé ce texte qu'elle a elle-même trouvé dans un numéro du magazine Avantages, sur le site vous trouverez une méthode pour ranger facilement.

     

    Léonard de Vinci : « La simplicité est la sophistication suprême. »

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  • Lorsque je te demande de m’écouter,
    Lorsque je te demande de m’écouter,

    et que tu me donnes des conseils,
    tu ne fais pas ce que je t’ai demandé.

    Lorsque je te demande de m’écouter,
    et que tu me dis que je ne devrais pas me sentir ainsi,
    tu piétines mes sentiments.


    Lorsque je te demande de m’écouter,et que tu crois que tu dois faire quelque chose pour solutionner mon problème, tu me brimes, aussi étrange que cela puisse te paraître.

    Écoute! Tout ce que je te demande, c’est de m’écouter.
    Pas de parler ou de faire, ou juste m’entendre.
    Les conseils, je n’en ai que faire.
    Je peux accomplir mes choses; je ne suis pas sans ressources;
    peut-être suis-je découragé ou hésitant, mais je ne suis pas impuissant.
    Lorsque tu fais quelque chose à ma place et que je peux l’accomplir moi-même,
    tu contribues à ma peur et à ma faiblesse.
    Mais lorsque tu acceptes, comme un simple fait, que je sente ce que je sens,
    aussi irrationnel que ce soit, alors je peux cesser de vouloir te convaincre et,
    travailler à comprendre ce qui se passe en moi.
    Et si un jour, tu désires parler, “je” t’écouterai à mon tour.

    Poème de Virginia Satir

    Virginia Satir, reconnue comme charismatique et particulièrement douée dans son domaine par nombre de ses confrères, est l'un des trois principaux thérapeutes, avec Milton Erickson et Fritz Perls, dont la pratique a été modélisée par Richard Bandler et John Grinder pour créer la P.N.L. (Programmation Neuro-Linguistique). Source wikipedia.

     

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  • Autobiographie en cinq courts chapitres. Portia Nelson

    Histoire vécue...par Portia Nelson.1. Je marche le long d'une rue.
 Il y a un grand trou dans le trottoir. 
Je tombe dedans.
 Je suis perdue…je ne sais pas quoi faire.
 Ça me prend une éternité pour m'en sortir.

    2.
Je déambule le long de la même rue. 
Il y a un grand trou dans le trottoir.
 Je fais semblant de ne pas le voir
. Je tombe dedans encore une fois. 
Je ne peux pas croire que je me retrouve dans le même pétrin
. Mais ce n'est pas de ma faute.
 Ça me prend encore un bon moment avant de m'en sortir.

    3.
Je redescends la même rue. 
Il y a toujours un grand trou dans le trottoir.


    J'ai conscience qu'il est là. 
Je tombe dedans quand même…par habitude
. Je vois clair. 
Je sais où je suis.
 C'est de ma faute. 
Je me sors de là aussitôt.

     

    4. Je marche le long de la même rue. 
Il y a un trou dans le trottoir. 
Je le contourne.

    5. Je prends une autre rue.

    OU COMMENT SE SORTIR d'un schéma répétitif...

    Suggestions : Lire William Bridges : TransitionsHistoire vécue...par Portia Nelson. de vie*

    Aller sur ce site Evolute Conseil et lire leur long article ici. Prenez aussi le temps de lire les commentaires et les réponses aux commentaires.

    *ce livre aide les individus à analyser les changements qu'ils traversent et à les intégrer dans une trajectoire de vie. Positif ou négatif, grand ou petit, un changement n'est pas un événement isolé: il génère une période d'adaptation, souvent difficile à vivre. Cette phase de " transition " est essentielle. Nombre de nos problèmes et de nos " rechutes " s'expliquent par une transition antérieure mal vécue, refoulée ou trop rapide. Ce livre décrypte ce temps de maturation nécessaire pour donner du sens au changement et décrit les diverses étapes qui nous permettent de nous réorienter. S'appuyant sur de nombreux témoignages et sur l'analyse de mythes fondateurs, cet ouvrage au ton chaleureux nous rend plus forts face aux bouleversements qui nous affectent. " C'est la transition réussie qui assure le succès d'un changement, qu'il soit professionnel, personnel ou organisationnel. " Meryem Le Saget, auteur du Manager intuitif

    I.
I walk down a street and there’s a big hole.
I don’t see it and fall into it.
It’s dark and hopeless and it takes me a long time to find my way out.
It’s not my fault!

    II.
I walk down the same street.
There’s a big hole and I can see it, but I still fall in.
It’s dark and hopeless and it takes me a long time to get out.
It’s still not my fault.

    III.
I walk down a street.
There’s a big hole.
I can see it, but I still fall in.
It’s become a habit.
But I keep my eyes open and get out immediately.
It is my fault.

    IV.
I walk down a street.
There’s a big hole.
And I walk around it.

    V.
I walk down a different street.

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  • Où est le Nord ?

    Le monde à l'envers ?En haut bien évidemment me répondrez-vous.

    Depuis la ville de Bordeaux et si je projette d’aller à Paris, je me dis que je me prépare à monter sur Paris, et que je descendrais sur Bordeaux dans le cas contraire.

    Si Nord est en haut, il en découle que le Sud est en bas, l’Ouest à gauche …

    et tout est ordonné comme j’en ai l’habitude.

    Pourtant cette organisation spatiale n’a rien de naturelle, car depuis l’espace il n’y a ni haut, ni bas. Depuis l’espace, en fait, il n’y a pas de sens. un Australien, Stuart McArthur, lassé de toujours retrouver son pays dans un coin en bas du monde, que l’on attribue la première carte du monde à l’envers, ou plus justement qui place le sud en haut.

    Nationalité de l’auteur oblige, c’est ici l’Australie qui est localisée au milieu de ce «haut » .

    Retrouvez plus d'informations sur le site 'Derrière les cartes'Cartographie perçue, cartographie vécue 

    Beaucoup d'articles font réfléchir sur ce que nous trouvons "normal" dans la vie, selon le point de vue où nous sommes situés et d'où nous regardons.

     

     

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  • Pour répondre à cette première question, il est nécessaire de remonter au fondement même de la plupart de nos comportements. Autrement dit, d’où vient le fait que nous agissions comme nous le faisons ? La réponse tient en un mot : de la peur. En effet, le moment de notre naissance nous a plongés dans un traumatisme qui, depuis lors, nous hante et nous conditionne…

    Beaucoup de relations se dégradent. C’est un fait. Il est tellement courant que c’en est devenu banal… Et pourtant. Pourquoi tant de relations fondées, au départ, sur de « bonnes relations » finissent-elles par se dégrader en conflits, tensions, frustrations, séparations, ruptures, licenciements ? Par quel mécanisme insidieux et invisible nos relations s’abîment-elles ? Est-il possible, malgré tout, de reconstruire nos relations ? Ce sont les trois questions auxquelles tentera de répondre cet article…

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  • Une approche plurielle de la thérapie"Comment comprendre l'étonnante multiplicité des écoles de psychothérapie existant actuellement?

    Pour un certain nombre de thérapeutes, c'est là une question qui ne se pose purement et simplement pas : ils se contentent d'adhérer sans réserves à leur doctrine thérapeutique de référence, considérant qu'elle est la seule vraie, toutes les autres n'étant qu'un tissus d'erreurs, d'errements et d'errances idéologiques. Et cette position leur parait d'autant plus juste que leur pratique thérapeutique débouche suffisamment souvent sur des résultats qui les satisfont, et que, quand tel n'est pas le cas, ils considèrent que c'est de la faute du patient (pas assez motivé ou trop résistant) ou, plus héroïquement, de la leur (pas assez d'expérience, manque de compréhension en profondeur de la théorie), jamais en tous cas, celle de leur doctrine de référence.

    C'est que, pour le thérapeute, sa théorie est quelque chose de précieux. Sans même parler du temps, de l'énergie et des efforts financiers qu'il a du consentir pour se former, et c'est souvent considérable, sa théorie représente un morceau de son identité. Peu de psychothérapeutes se considèrent simplement "psychothérapeutes" : ils se disent plutôt bioénergéticien, transactionnaliste, analyste jungien, rogérien, programmateur neuro-linguistique, analyste, orthodoxe ou lacanien, kleinien ou néo-freudien, systémiste, psychodramatiste, ou Gestalt-thérapeute... Et cette identité, ils la partagent avec ceux qui, formés à la même école, font partie de la même Société. Adhérer à une doctrine de référence c'est donc aussi faire partie d'un groupe en partageant ses croyances...."

     
    Retrouvez ici la suite cette réflexion sur le site de Thierry Melchiorpsychologue, philosophe. Egalement d'autres textes de réflexion dans ses Publications et une bibliographie qui donne des idées de lecture.

    100 mots pour ne pas aller de mal en psy : Ce livre vise à fournir un ensemble de principes pour aider à vivre dans un rapport non-violent à soi, à autrui et au monde. Ces principes découlent des enseignements de l'hypnose et de la thérapie brève, mais aussi de ce que nous ont apporté plusieurs millénaires de sagesse tant en Occident qu'en Orient. Il contient également un ensemble de réflexions critiques par rapport à la tendance dominante aujourd'hui en psychothérapie. Il invite à l'élaboration, au delà de la philosophie et de la psychologie, d'une écosophie susceptible de nous aider à vivre en ce début de 21ème siècle. Il s'adresse aussi bien aux professionnels de la thérapie qu'à tous ceux qui sont intéressés à améliorer leur façon de mener leur vie dans un monde en perte de repères. Il contient également un ensemble de réflexions critiques par rapport à la tendance dominante aujourd'hui en psychothérapie.

     

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  • et je le prouve, enfin pas moi mais des scientifiques, comme expliqué dans cet article à retrouver ici, chez Futura Sciences

     J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé "Une équipe de l’université de Californie à Los Angeles vient éclaircir une part de ce mystère. Leurs résultats, publiés dans la revue Pnas, montrent que le fait et la manière d’être heureux conditionnent l’expression des gènes et le fonctionnement des cellules.

    Le bonheur est bénéfique pour l'organisme… à condition d’être généreux

    Des travaux précédents ont montré que les sentiments négatifs comme la peur ou le désarroi modifiaient l’expression des gènes dans les cellules immunitaires. Le profil génétique qui en résulte, appelé « profil transcriptionnel face à l’adversité » (conserved transcriptional response to adversity, CTRA), est caractérisé par une augmentation de l’expression des gènes impliqués dans la réponse inflammatoire et une diminution pour ceux jouant un rôle dans la réponse antivirale.

    Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont pris un angle différent et ont analysé l’effet d’émotions positives sur le profil CTRA. Pour cela, ils ont recruté 80 adultes, considérés comme heureux eudémoniques « altruistes » ou hédonismes « égoïstes », et ont analysé l’expressiongénomique de leurs cellules immunitaires. Leurs résultats sont assez surprenants, puisque les narcissiques et les généreux ont des profils CTRA opposés. En effet, contrairement aux émotions négatives, le bonheur charitable induit une baisse de l’expression des gènes de l’inflammation et une hausse de celle des gènes antiviraux. En revanche, les heureux centrés sur eux-mêmes présentent un profil CTRA similaire à celui provoqué par des sentiments noirs. "

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  • J'entends ce terme pour la première fois, c'est dire que le monde des thérapies est vaste. Allez vous renseigner par ici.

    La pentanalogie, kesaco?"La pentanalogie permet de mieux se connaître soi-même, de découvrir ses potentiels, mais aussi de mieux comprendre les autres.

    Elaborée successivement par deux ingénieurs dans les années 1970, cette méthode, qui reprend certains principes de la numérologie, constitue une voie de développement personnel très complète. 

    Pourquoi «pentanalogie» ? Comprenez «analogie avec un pentagramme», c'est-à-dire avec une étoile à cinq branches. 

    Découvrez les origines de la pentanalogie ainsi que les principes d'un thème pentanalogique dans les onglets suivants. Vous pouvez aussi commander un thème personnalisé ou contacter la propriétaire du site en cliquant ici."

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