• Pourquoi dire le mal plutôt que le bien ?

     

    Lutter contre la médisanceLa cause immédiate, c’est la faiblesse caractérielle à l’origine de la médisance : dans mon cas, elle est assez évidente, c’est la rancune, teintée parfois de jalousie, que je ressens par rapport au collègue ou rival qui m’a fait du mal et/ou représente une menace potentielle. Indépendamment du caractère plus ou moins fondé de mes griefs, la charge émotionnelle négative que je ressens à la seule évocation de cette personne est une indication claire que je suis sous le coup d’une pulsion du soi impérieux qui m’empoisonne et me fait ressembler à la personne dont pourtant je prétends dénoncer les comportements.

     

    Un long article qui nous fait réfléchir sur une pratique spirituelle exigeante :« En toute circonstance, se mettre à la place d’autrui et vouloir et faire pour l’autre le bien que l’on veut et fait pour soi-même"

    https://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/lutter-contre-la-medisance/ 

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  • J'ai trouvé ce mode d'emploi très bien détaillé sur l'utilisation de la technique des "Petits bonshommes allumettes" dont nous avons déjà bénéficié.

    Dans quels cas l’utiliser ?

    Vous pouvez vous servir de cet exercice des bonhommes allumettes avec toute personne qui entretien une relation avec vous-même directement (amicale, amoureuse, familiale, professionnelle ou sociale).

    Vous pouvez faire l’exercice avec une personne décédée, le fait qu’elle ne soit plus en vie n’empêche pas que vous puissiez encore souffrir en ressentant des émotions désagréables en lien avec cette ancienne relation.

    Vous pouvez aussi utiliser la technique des bonhommes allumettes pour améliorer un point personnel : vous pouvez représenter à l’aide des bonhommes allumettes deux facettes de vous-même (par exemple « vous en bonne santé » et « vous malade », ou bien « vous serein» et « vous angoissé», …) cela pour travailler sur un aspect de vous dont vous voulez vous détacher ou pour régler un problème personnel.

     

     

    Tout l'article ici.

    http://lescarnetsdubienetre.com/les-petits-bonhommes-allumettes-se-liberer-des-emotions-negatives/

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  • Voici un très bel article, une source de réflexion sur nous-mêmes, de quoi avancer vers plus de clarté. Voici un extrait pour vous mettre en appétit.

    Nous sommes nos mots. La parole blesse ou répare. Elle humilie ou grandit."Par exemple : j’avais répondu de manière abrupte à une question de ma femme ; le ton était poli mais froid, sans aucune affection. En passant en revue cet échange pendant le bilan, j’ai tout de suite perçu sa saveur négative, et aussi son impact négatif sur nous deux. En analysant davantage, je me suis rendu compte d’un puissant agacement qui, à ce moment-là, sous-tendait mes paroles. Mais d’où venait cet agacement ? Pourquoi est-ce que je lui en voulais ainsi, au point d’oblitérer un instant tout l’amour et l’affection que nous avons l’un pour l’autre ?

    Je n’y ai pas vu clair tout de suite, mais j’ai décidé, pour les jours et semaines à venir, de surveiller particulièrement ces situations de paroles négatives vis-à-vis de ma femme et de me taire dès que me reviendrait cet agacement si caractéristique, qui pouvait m’amener à être si désagréable, avec cette manière obtuse de lui parler, toute empreinte de politesse froide. C’est en menant ce travail durant plusieurs semaines, tout en continuant à analyser plus généralement mes paroles et mes échanges, que je suis parvenu à prendre conscience, petit à petit, des pulsions négatives à l’œuvre dans de pareils moments : un sentiment de supériorité mal placé vis-à-vis de mon épouse, qui faisait que, dans certaines situations, lorsqu’il apparaissait qu’elle avait un avis contradictoire et refusait de souscrire à mon point de vue, et que sa position s’avérait pourtant la plus juste, cela m’offensait et infusait en moi une forme d’agressivité. Comme je suis de nature très polie, cela ne s’exprimait pas sous forme de paroles agressives, mais plutôt par une espèce de distance froide, dont je comprenais maintenant à quel point elle lui était blessante, elle qui d’ailleurs m’en faisait parfois le reproche (« Je n’aime pas quand tu te montres si distant… »). Dans ces moments-là, je n’étais qu’un ego, entièrement concentré sur sa volonté de puissance blessée, oubliant tout sentiment positif – amour, affection, gratitude, admiration…"

    Lire la suite ici https://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/sengager-a-dire-le-bien/

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